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JANE MOORE Hard-working Brits foot £3bn bill for flood of migrants Labour is letting into UK – and bigger tax black hole to come

JANE MOORE 

Hard-working Brits foot £3bn bill for flood of migrants Labour is letting into UK – and bigger tax black hole to come

Hard-working Brits foot £3bn bill for flood of migrants Labour is letting  into UK - and bigger tax black hole to come | The Sun

L’ENQUÊTE CHOC QUI ÉBRANLE LE GOUVERNEMENT : LA VÉRITÉ SUR LA FACTURE DES MIGRANTS

C’est un chiffre qui fait trembler Westminster : 3 milliards de livres sterling. C’est ce que coûtent aujourd’hui aux contribuables britanniques l’accueil, l’hébergement, l’encadrement et la gestion de l’afflux massif de migrants qui entrent chaque année au Royaume-Uni. Un chiffre vertigineux, dévoilé dans un rapport interne récemment fuité, qui tombe comme une bombe en pleine tempête politique.

Mais ce qui choque encore plus, c’est la réponse – ou plutôt l’inaction – du parti travailliste, accusé d’avoir ouvert les vannes à une immigration record. Et selon des économistes de renom, le trou fiscal que cela engendre pourrait s’agrandir considérablement dans les années à venir.

UNE ADDITION SALÉE POUR LES TRAVAILLEURS BRITANNIQUES

Jane Moore, éditorialiste chevronnée, tire la sonnette d’alarme : « Ce sont les citoyens honnêtes, les travailleurs, les familles modestes, qui paient l’addition d’une politique migratoire hors de contrôle. »

Chaque migrant accueilli coûte en moyenne 36 000 livres par an à l’État britannique, incluant l’hébergement temporaire, l’aide alimentaire, les soins médicaux, la scolarisation et le traitement administratif.

Dans un contexte d’inflation galopante, de services publics sous pression et de ménages étranglés par la crise du coût de la vie, ces milliards dépensés suscitent un profond malaise.

UNE POLITIQUE QUI ATTIRE TOUJOURS PLUS

Selon les experts, la politique actuelle, jugée “trop permissive” par de nombreux observateurs, agit comme un aimant. Le Royaume-Uni est désormais perçu comme un eldorado pour des milliers de migrants économiques, en grande partie issus d’Afrique, du Moyen-Orient et d’Asie du Sud.

« Nous ne parlons plus ici de réfugiés fuyant des zones de guerre. Il s’agit en majorité de migrants qui veulent simplement une vie meilleure – ce qui est compréhensible, mais ce n’est pas soutenable pour nos finances publiques », explique un analyste de l’Institut pour la Politique Migrationnelle.

LE SILENCE ASSOURDISSANT DU PARTI TRAVAILLISTE

Le Labour, de plus en plus critiqué, garde pourtant un silence assourdissant sur ce sujet brûlant.

Alors que les conservateurs appellent à des contrôles renforcés, Keir Starmer et son entourage semblent éviter soigneusement la question, refusant de fixer des quotas ou de proposer des coupes budgétaires dans les dispositifs d’accueil.

Derrière cette stratégie se cache une logique électoraliste, dénoncent certains insiders : « Le parti travailliste parie sur les votes des communautés immigrées dans les grandes villes. Fermer les frontières serait contre-productif pour leur base électorale. »

UN DÉFICIT QUI SE CREUSE DANGEREUSEMENT

Hard-working Brits foot £3bn bill for flood of migrants Labour is letting  into UK - and bigger tax black hole to come | The Sun

Les économistes sont formels : le coût de cette politique migratoire pourrait faire exploser le déficit britannique d’ici 2026.

Selon les projections du Bureau de la responsabilité budgétaire (OBR), les dépenses liées à la gestion migratoire pourraient atteindre 5 milliards de livres par an d’ici deux ans.

Et cela sans compter les effets indirects sur les infrastructures (hôpitaux, écoles, transports) déjà saturées dans certaines régions du pays.

LA COLÈRE MONTE DANS L’OPINION PUBLIQUE

Les réactions ne se sont pas fait attendre. Sur les réseaux sociaux, les hashtags comme #StopTheFlood ou #UKFirst explosent.

Des manifestations ont eu lieu à Birmingham, Manchester et Londres, où des milliers de citoyens ont exprimé leur exaspération face à ce qu’ils perçoivent comme une injustice flagrante : « Nous travaillons dur, nous payons nos impôts, et c’est pour financer des hôtels quatre étoiles à des étrangers qui viennent ici illégalement ?! » s’insurge une manifestante.

DES RÉVÉLATIONS GÊNANTES POUR LE GOUVERNEMENT

Une autre révélation aggravant la crise : certains hôtels transformés en centres d’accueil de migrants coûtent jusqu’à 250 livres la nuitée à l’État !

Un ancien fonctionnaire du Home Office affirme que certains prestataires « font fortune sur le dos du système », surfacturant les services dans une opacité totale.

Un véritable scandale dans le scandale, qui relance le débat sur la transparence et la responsabilité dans la gestion des fonds publics.

ET CE N’EST PAS FINI…

Hard-working Brits foot £3bn bill for flood of migrants Labour is letting  into UK - and bigger tax black hole to come | The Sun

Ce qui inquiète le plus les spécialistes ? Le fait que le phénomène semble s’accélérer.

Le nombre de migrants arrivés par la Manche en 2024 a dépassé les 100 000 – un record absolu. Et avec la dégradation des conditions économiques en Afrique du Nord et au Moyen-Orient, ce flux pourrait doubler dans les années à venir.

Le gouvernement est-il prêt à affronter cette tempête ? Rien n’est moins sûr.


CONCLUSION : À QUAND UNE PRISE DE CONSCIENCE ?

La question n’est plus « si » le Royaume-Uni peut se permettre une telle politique, mais bien combien de temps encore les contribuables accepteront de porter ce fardeau.

Dans un contexte de défis économiques immenses, de tensions sociales croissantes et d’un climat politique électrique, l’affaire des 3 milliards pour les migrants pourrait bien devenir le catalyseur d’un véritable séisme électoral.

Les Britanniques sont à bout. Et ils exigent des réponses.