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Oprah Winfrey révèle le secret bouleversant derrière son choix de ne jamais avoir d’enfants après avoir été témoin de la relation toxique entre Barbara Walters et sa fille

Oprah Winfrey révèle le secret bouleversant derrière son choix de ne jamais avoir d’enfants après avoir été témoin de la relation toxique entre Barbara Walters et sa fille

Oprah Winfrey Says Barbara Walters Was 'One of the Reasons' She Didn't Have  Kids

Oprah Winfrey : “Je ne voulais pas vivre ce cauchemar” — comment le drame familial de Barbara Walters a façonné une décision de vie radicale

“Tout le monde me disait que je le regretterais. Mais je savais au fond de moi que non. Je suis mère des enfants du monde.”
— Oprah Winfrey

Dans le monde brillant et impitoyable des médias, certaines décisions de vie peuvent paraître choquantes, surtout quand elles vont à l’encontre des attentes sociétales les plus profondes. Oprah Winfrey, l’une des femmes les plus influentes de la planète, vient de faire une révélation qui fait l’effet d’un coup de tonnerre : elle a sciemment choisi de ne jamais avoir d’enfants ni de se marier, et ce, à cause d’une figure légendaire de la télévision américaine — la journaliste Barbara Walters.

Une conversation qui a tout changé

Tout a commencé par une conversation intime, presque banale, entre Oprah Winfrey et Barbara Walters. Les deux femmes partageaient bien plus qu’un amour du journalisme : une quête permanente d’excellence et de reconnaissance dans un monde dominé par les hommes.

« Barbara m’a dit un jour : “Il n’y a rien de plus gratifiant que d’avoir des enfants. Tu devrais vraiment y penser.” »
confie Oprah.

Mais au lieu d’inspirer la future animatrice de “The Oprah Winfrey Show”, cette déclaration a eu l’effet inverse. Car Oprah observait, en silence, le chaos émotionnel que vivait Walters avec sa fille adoptive, Jacqueline.

« Je l’ai regardée, j’ai vu sa vie, et je me suis dit : non, merci. »

Un drame familial loin des caméras

Barbara Walters, icône de la télévision américaine, pionnière dans son domaine, a fait l’objet de nombreux éloges pour sa carrière exemplaire. Mais derrière le rideau des projecteurs se cachait une réalité beaucoup plus sombre : une relation brisée avec sa propre fille.

Jacqueline Danforth, adoptée par Walters dans les années 60, a grandi avec un père et une gouvernante. Mais pas avec une mère présente. Barbara était constamment happée par ses interviews, ses émissions spéciales, ses plateaux de tournage. Le résultat ? Une enfant marquée par l’absence et un vide affectif impossible à combler.

« Barbara a reconnu à plusieurs reprises qu’elle avait fait des erreurs en tant que mère. »
rappelle Cynthia McFadden, ancienne collègue de Walters chez ABC et amie proche.

Malgré quelques tentatives de réconciliation à l’âge adulte, leur relation est restée fragile, marquée par les blessures du passé. L’ombre de ce lien maternel brisé a profondément marqué Oprah, au point d’en faire une référence dans ses propres choix de vie.

Oprah credits Barbara Walters with her decision not to have children: 'I  knew I could not do both well'

Un modèle inversé

Alors que beaucoup de femmes de son époque s’efforçaient de « tout avoir » — carrière, mariage, enfants — Oprah a fait le choix radical de ne suivre que son propre chemin.

« Je savais que je ne serais jamais de celles qui regrettent de ne pas avoir eu d’enfants. Je ressens profondément que je suis une mère pour les enfants du monde entier. »

Un choix qu’elle assume pleinement aujourd’hui, malgré les critiques et les attentes qui pesaient sur elle pendant des décennies. Le public l’a vue s’épanouir dans sa carrière, élever des générations de femmes par ses paroles, ses émissions, ses écoles. Et pourtant, cette absence d’enfant biologique est longtemps restée un sujet tabou.

Mais avec cette déclaration, Oprah brise le silence et montre qu’il est possible de redéfinir la maternité, l’amour et l’héritage en dehors des normes classiques.

La solitude choisie ou la liberté ultime ?

Dans un monde où le bonheur semble constamment lié au schéma traditionnel — mariage, enfants, maison — Oprah incarne une liberté déroutante, presque provocante. Elle n’a jamais épousé Stedman Graham, son compagnon depuis plus de 30 ans, et n’a jamais ressenti le besoin d’officialiser quoi que ce soit.

« La société veut que tu sois ce que tu n’es pas. Moi, j’ai choisi d’être fidèle à ce que je ressens profondément. »

Et si Oprah avait tout simplement refusé de répéter les erreurs des générations précédentes ? Et si son plus grand acte d’amour était justement de ne pas devenir mère, pour ne pas faire souffrir un enfant comme l’avait fait Walters, involontairement ?

Un message puissant pour une nouvelle génération

Ce témoignage intime résonne comme un manifeste pour toutes les femmes — et les hommes — qui doutent, qui hésitent, qui se sentent jugés parce qu’ils ne veulent pas d’enfants, ou n’en peuvent pas. Oprah montre qu’il est possible de vivre une vie pleine, riche et généreuse sans suivre les chemins tracés d’avance.

Elle n’a peut-être pas d’enfant biologique, mais elle a construit des écoles, fondé des fondations, influencé des millions de vies. Elle a pleuré avec les mères du monde entier, a donné une voix aux enfants abusés, aux adolescents perdus, aux femmes brisées. Elle est, en quelque sorte, une mère spirituelle universelle.


Une vérité qui dérange… ou qui libère ?

How Barbara Walters convinced Oprah Winfrey not to have kids

Le témoignage d’Oprah Winfrey n’est pas qu’un récit personnel. C’est une prise de position. Un miroir tendu à une société encore trop rigide dans ses définitions du bonheur et de la réussite féminine.

Et si la véritable maternité ne se mesurait pas à un arbre généalogique, mais à l’amour qu’on insuffle dans le monde ?

Oprah, en observant les blessures d’une autre femme forte, a su préserver son équilibre. Elle a dit non, non à la pression, non à l’illusion, non à la répétition des schémas. Elle a dit oui à elle-même.

Et ce « oui » continue de faire écho, bien au-delà des studios de télévision.